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"Les gens changent constamment. Nous devons toujours accepter et être prêt pour une nouvelle apparence." voici les paroles de vie de Cole Sprouse. Il n'a pas besoin de nous le dire deux fois: l'acteur Américain, photographe et aux talents créatifs variés est la preuve vivante de sa propre philosophie.

Ayant tout d'abord commencer le cinéma pour la première fois à seulement neuf ans dans Big Daddy d'Adam Sandler, Sprouse a transcendé la trajectoire typique d'une enfant star. Plutôt que de ce concentrer sur une seul chose, il a utilisé son art et sa personnalité et a avoué être comme un caméléon pour évité la Hollywood-machine - et son travail est beaucoup mieux pour lui maintenant.

Sprouse nous parle depuis la Californie avec le contexte de la narration visuelle - produit en collaboration avec son amie et photographe Miriam Marlene Waldner. Cette série de photos raconte une histoire, Miriam et Sprouse raconte l'histoire des Quatre tempéraments, une théorie psychologique qui suggère qu'il existe quatre types de personnalité fondamentale: le sanguine, le colérique, le mélancolique et le flegmatique. Inspiré par l'argument d'Hippocrate, ils ont créé une série de quatre à l'aide de types de caractères distincts et une narration subtile pour vous attirer dans l'histoire émotive et délicate.

Avec une sagesse qui dément des années, Sprouse tient à rappeler aux lecteurs que "les choses ont souvent une drôle de tournure et que rien n'est définitif - y compris le concept de soi. En fin de compte, nous sommes devenus une amalgamation de toutes les personnes que nous ayons connues." Nous avons parler à Sprouse de le composition de soi et la double réponse qu'il a à ce système de croyances archaïque.

Le concept des Quatre Tempéraments est - avec vos propres mots - "une théorie incroyablement complexe." Parlez-nous du tempérament que vous croyez être le plus distinct à vôtre personnalité ?
Je me sent le plus étroitement aligné avec les éléments sanguine et mélancolique. Ces éléments sont les plus proche, même si plus de ces deux éléments font ma personnalité, ils sont la plus grande partie de mon caractère. La deuxième je l'éprouve moins fréquemment. J'ai tendance à ressentir plus de colérique quand je suis bourré (rires), mais c'est à discuté c'est un état d'être qui changé de toute façon. Et, je suis seulement vraiment flegmatique quand je suis autour de quelque chose ou quelqu'un de familier et cela prends tout de même du temps et de la patience pour que je soit en paix réel.

Est-ce que ton tempérament change dramatiquement - ou pas du tout- avec le temps ? 
Oh, je pense absolument qu'il a changé dramatiquement. Cependant, je ne pense pas que c'est quelque chose qui peut être réservé à mon éducation ou la sorte de narration que j'avais. Je pense que nous changeons tous avec l'âge. Je pense que nos vies - ou du moins la mienne - peut être distillé dans une série de rites de passage et d’états de liminal, c'est de ces rites que certaines parties de nos personnalités deviennent plus définies et dure que d'autres. Je pense que nous subissons tous un énormes flux qui est nouveau, qui est encore, ma plus grande inquiétude avec la division propre de types de personnalités des quatre archétypes distincts. La photographie est un magnifique exemple et réflexion des gens qui changent avec le temps. Comme nous regardons le travail d'un photographe du temps où ils ont commencé leurs travail, à leurs dernier travail, nous voyons le changement, pas seulement dans leurs capacité professionnel - vous savez les ficelles du métier - mais dans la division, dans les yeux et dans la substance. Je me retrouve souvent à regarder en arrière, au temps où je me suis battu avec des gens près de moi, je n'étais pas capable de comprendre le changement qu'ils ont subi ou vice versa. Si nous nous préparons au faite que les gens changement, nous seront plus préparés pour les aimer inconditionnellement, sans tenir compte du semblant.

Est ce que tu croix que l'image que nous avons de nous-même est un reflet pour les autres ?
Je suis énormément influencé par les gens qui m'entour. Je veux dire, j'ai été entraîné pour être un social caméléon dès le plus jeune âge, Donc je pense que l'acceptation que je cherche auprès des gens autour de moi varient de ceux qui ont plus de facilité à être totalement solitaire. Je suis un partisan ferme de Darwinisme (le darwinisme désigne l'évolution biologique des espèces par la sélection naturelle et la concurrence vitale.), je pense que nous bénéficions tous d'un instinct de survie de toutes les choses que l'environnement nous jette. Nous sommes tous entraîné différemment, nous devrions accepter les choses autour de nous et leurs permettre de transporter le mou dans les lieux que nous ne pouvons pas, et ne sommes pas entraîné pour. Pour faire abstraction de notre environnement immédiat ou une plus grande influence qu'à nôtre personnalité avec l'âge serait tellement dépourvus de sens.



En parlant de changement, ta transition entre acteur et photographe a été très pertinente. En quoi les deux se différencies ?
Il y a une super flexibilité en tant qu'acteur, vous pouvez montrer des tempéraments différents à variants degrés, mais je ne crois pas que vous ayez le même influence créative que si vous étiez un photographe, un directeur ou un auteur, ou quelqu'un qui peut utiliser leurs jouets pour construire un monde autour d'eux. En tant qu'acteur, j'ai l'impression que je joue avec les jouets de quelqu'un d'autres, que ce ne sont pas les miens.

Quels photographes d'inspire en ce moment ?
Mec, il y en a des tonnes. Ryan McGinley est le numéro un. Il est aussi un exemple d'un jeune photographe dont l’œil est perturbe gentillement les associations souvent archaïques mégalithiques dans l'industrie de la photographie. J'ai toujours été un grand fan de Tim Walker. Vous savez, maintenant que je pense à Ryan McGlinley et Tim Walker tout deux ont une association forte avec le paysage, tout comme moi. Mon travail est spécialement lié avec la nature. J'adore la Géographie National et les dialogues  qu'il a avec ces photographes et leurs perceptions du monde. Ironiquement, je ne suis pas très familier avec les photographe de mode. Il y a une poignet de personne dont je suis attiré, mais les sortes de photographie narrative que je suit incluent une certaine forme d'évasion avec la réalité.

Y a-t-il certains thèmes que vous aimeriez exploser dans votre propre photographie ?
L'évasion. Ce sera toujours l'évasion. L'évasion narrative pour moi est une forme de méditation. Mon travail est très formé par cette notion de détournement, détournement du regard du public. Je fais ça depuis des années, je m'en suis détourné et maintenant je me jette dans une solitude naturelle qui me remplit d'une inspiration énorme. Beaucoup de travail fashion que j'ai fais - si nous sommes vraiment honnête - est une excuse pour traîner un modèle de haute couture, un styliste et un maquilleur dans les bois pour que je puisse avoir une sorte de méditation naturelle. Mon travail doit ce retourner vers ça. Cependant, je suis aussi tout à fait pour parler de projets de passion dans trop de détails, comme je suis croyant que plus je parle de la passion de mes projets plus cela me pousse à les faire vraiment.

Vous utilisez Instagram pour présenter vôtre travail. Voyez-vous les réseaux sociaux comme une forme d'évasion de la réalité numérique ou comme une contrainte ?
C'est une très bonne question! Je pense que l'évasion de la réalité est directement formaté par les réseaux sociaux. Je crois que même quand nous sommes loin des gens socialement, nous sommes maintenant devenus si préoccupés de nous sauver la face et de tenir cette apparence que les réseaux sociaux sont devenus une merveilleuse façons pour nous de nous évadez de tout ça pendant un moment. Si nous devions en garder une empreinte d'un magazine par exemple. La Géographie National continue à vraiment défier l'âge numérique et c'est parce qu'ils offrent un formulaire inégalée d'évasion de la réalité, une sorte de récit de voyage et vous savez, en l'absence d'un meilleur mot, ils leurs vendent quelque chose qui leurs est étranger et inconnu. Et, je crois que ce alanguissement pour lequel la qualité d'évasion est directement influencé par notre sentiment de détachement nécessaire plus social, un paysage urbain. Je suis aussi d'avis et j'ai un bon espoir que cette merde de réseaux sociaux vas tourner de sorte que les jeunes vont devenir originaux et se lever du haut de cette boue et dire "Nous ne voulons plus de cette merde, faisons un retour". J'espère voir une sorte de mouvement et un retour à la classe, un retour à l'adoration de la classe ouvrière même s'il en viens une sorte de bourgeois malavisé. Retournons à une vie plus réduit et loin des réseaux sociaux.

La suite pour toi Cole ?
Je dois faire un retour plus sain à une sorte de nouveauté que j'ai d'abord incluse quand j'ai commencé. Jusqu'ici, cette année je me suis concentré sur mes projets commerciaux, maintenant je dois rendre à mes projets une passion réels.



























Traduction par Cole Sprouse France

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